Noir et blanc: Nouvelle Tudor Black Shield

La plus grosse surprise à venir le boîtier monobloc réalisé en céramique . Une grande première au sein du groupe Rolex , qui répondait à un grand fantasme de fans.
Les chants et les chronographes Fastrider et les chronographes des années 60-70 dédiés aux sports automobiles peuvent paraître paradoxale. Tudor signe l'un des hommages les plus à propos de chroniques classiques de sports mécaniques dans le cadre d'une collaboration avec la marque de motos Ducati.
Heureux hasard, ou prédestination: Ducati et Tudor ont tous deux un symbolisant un écu. Un bouclier noir (en céramique), en anglais ça se dit: Blackshield .

Cette boîte en céramique est inspirée du design des flottes et autres feu F-117 furtifs: avec un dessin de carrures anguleux et agressif . Sérès de l'étoile de l'étoile, elle la ringardise, l'air de rien, beaucoup d'autres pièces supposément: « militaro-furtives ».
Au niveau technique, le boîtier de 42 mm est un produit en céramique d'un seul bloc. Le gabarit non dégrossit est obtenu par injection à chaud, puis le retour à la température ambiante et le microbillage finissent l'ensemble.
Tudor, comme sur la Fastrider acier, ne propose pas le cuir, ou le caoutchouc de très bonne facture. La montre sera vendue 4640 euros , un tarif qui démocratise vraiment et vaut cette fascinante céramique.
Alors que les versions précédentes de la Blackshield étaient très typées, soit rouge, soit noir et bronze, ce modèle est plus neutre, revenant à un classique noir et blanc , qui répond mieux à des attentes grand public. On pourrait presque allure, Allan Black, mais sur les limites de cette configuration: la lisibilité. Fastrider Blackshield ref 42000CN offre un excellent compromis entre les affaires de l'heure et l'habétion souhaitée.

Au porté, c'est superbe: la montre légère, se pose bien sur le poignet et le design de cornes affinées au maximum prend tout son sens. Les fameuses pièces de bout en céramique ne sont pas l'unanimité, mais comme toujours dans le groupe Rolex, la justification porte sur la durabilité du boitier.
La montre est passée à un chronographe tricompax qui a été pris de la manière suivante: à 3h le compteur des minutes, à 6h le compteur des heures, et à 9h la petite seconde, enfin, la date est à 4h30.
Tudor fait confiance à ETA pour le chronographe, en implantant un Valjoux 7753 , très solide , fiable et incroyablement précis . Sa lignée «7750» rend son déclenchement viril et le bruit de sa masse oscillante est toujours présent. Calibre contribue à l'esprit sportif de cette Tudor Fastrider Blackshield 42000CN .
Pas une file d'attente, pas une file d'attente. Encore plus étonnant: la forme rappelle un bouclier et le juge par le dessus bombé, sur la plus-value au logo de Ducati qu'à de Tudor.
Tudor parvient à se démarqué avec des produits offard un rapport passion / prix imbattable , pour la plus grande joie des amateurs ou des passionnés! voir plus rolex replique et Rolex Daytona

Urwerk UR-210

Une des montres les plus marquantes de la première décennie fut Opus V d'Harry Winston qui permit de donner un grand coup de projecteur sur le talent de Felix Baumgartner. Elle combinait le système d'heure vagabonde avec une grande aiguille des minutes rétrograde. A la fin de l'heure, l'aiguille se désolidarisait du plot qui l'accompagnait pour revenir instantanément à zéro et se positionner face au plot suivant. Inutile de préciser que le changement d'heure se ressentait lorsque la montre était portée puisque le grand mouvement rétrograde s'opérait sur quasiment toute la hauteur du cadran. Opus V fut bien plus qu'un projet commun avec Harry Winston: elle permit le développement d'idées qui furent par la suite reprises dans l'UR-201.

Jusqu'à peu, Opus V constituait un cas à part dans les créations de Felix Baumgartner car à l'exception notable de la montre de poche, l'UR-1001, aucune Urwerk n'utilisait une aiguille rétrograde pour l'affichage du temps. Que ce soit avec les satellites ou les plots, le temps chez Urwerk s'écoulait toujours de façon continue, sans rupture, presque paisiblement. Avec l'UR-210, tout change: l'aiguille rétrograde est de retour en occupant le rôle principal de la montre. Mais réduire l'UR-210 à une nouvelle interprétation d'Opus V serait une erreur: l'UR-210 profite de toutes les avancées techniques développées par Felix Baumgartner pour devenir une véritable synthèse du savoir-faire de la marque.

Si l'UR-110 proposait une graduation des minutes verticale, l'UR-210 récupère en revanche la graduation horizontale habituelle. La lecture du temps s'opère donc de façon similaire qu'avec n'importe quelle Urwerk UR-20x: le chiffre indiqué sur l'aiguille qui parcourt la graduation des minutes est celui de l'heure en cours. Il se trouve toujours en face de la minute qui est en train de s'écouler. A noter que sur l'UR-210, les chiffres des quart d'heures se détachent nettement permettant ainsi d'améliorer la rapidité de la lecture. Un propriétaire d'une UR-20x ne sera donc nullement dérouté par l'affichage. En revanche, tout change autour: aiguille rétrograde tri-dimensionnelle, forme du boîtier, complications... l'UR-210 renouvelle le concept de ses devancières tout en restant fidèle aux grands principes de la marque. C'est peut-être là la plus belle réussite de cette montre: elle propose un environnement inédit même si le style Urwerk demeure présent.

Le premier changement immédiatement palpable est la forme du boîtier. Le boîtier de l'UR-210 en titane et acier est plus géométrique, plus agressif du fait des décrochages latéraux de la lunette et colle parfaitement à l'esprit de la montre: une aiguille rétrograde apporte du dynamisme, le boîtier se met ainsi au diapason. La couronne occupe sa place habituelle au sommet du boîtier. J'ai toujours apprécié cette position qui permet de la remonter avec le pouce sans quitter la montre du poignet.

Puis l'aiguille centrale tri-dimensionnelle impose sa présence. Par son volume, sa largeur, elle devient l'actrice principale de l'UR-210. Alors que sur les UR-20x, les aiguilles rétractables situées au bout de chaque plot étaient relativement discrètes, Urwerk nous propose ici une démarche opposée. L'aiguille est non seulement unique mais elle englobe également chaque plot des heures les uns après les autres. Le plus surprenant demeure sa taille. Généralement, les aiguilles rétrogrades sont relativement petites compte tenu de l'énergie nécessaire pour actionner leur retour instantané et de la difficulté à les stopper net pour qu'elles repartent immédiatement. Urwerk a dû concevoir un système qui permet de palier les contraintes liées à la taille d'une telle aiguille (8mm de largeur, 22mm de longueur et 7mm de hauteur!). Ce système repose sur 3 éléments:

• l'axe central est chassé sur rubis afin d'assurer la stabilité de toute la complication d'affichage. Il est accompagné d'un ressort cylindrique qui va générer la tension activant le mouvement rétrograde.
• l'aiguille centrale, forgée en aluminium a été équilibrée par un contrepoids en laiton.
• enfin, le mouvement rétrograde est régi par une double came coaxiale.

Incontestablement, cette aiguille constitue le clou du spectacle comme l'était l'aiguille, plus traditionnelle, d'Opus V.

Cette aiguille ne doit cependant pas cacher un autre atout de l'UR-210, plus discret, mais qui crée un lien fort entre la montre et son propriétaire. J'ai parfois regretté la présence de complications lentes ou peu utiles sur certaines UR-20x comme pouvait l'être l'odomètre horloger. Cette fois-ci, Urwerk, en sus de l'indicateur de la réserve de marche, fort pertinent, a rajouté un témoin d'efficacité du remontage.

Le saut de l'aiguille est impressionnant à observer:

A plusieurs reprises, Urwerk a installé dans certaines de ses montres le système à turbines qui permet de réguler l'efficacité du remontage afin d'augmenter ou de réduire la vitesse d'armage. En position "stop", le remontage automatique est bloqué et les montres ne peuvent être remontées que manuellement. En position "full", le remontage automatique fonctionne avec une pleine efficacité. En position "reduced", la vitesse d'armage est réduite.

Malgré l'intérêt d'une telle complication qui donne au propriétaire de la montre le sentiment de contrôler son comportement, il demeurait un doute quand à la position optimale à adopter selon les circonstances même si une personne à l'activité plutôt calme se doutait que la position "full" était la plus adéquate. C'est là où le témoin d'efficacité du remontage joue son rôle: il donne une indication si la position en cours est pertinente ou pas. Il mesure pendant les deux dernières heures le ratio entre le remontage du mouvement et la dépense d'énergie. En zone rouge, la montre perd de la réserve de marche tandis qu'en zone verte, elle en gagne. Il ne s'agit donc pas d'un dynamographe qui mesure la tension du barillet et qui suggère un remontage si cette tension ne se trouve pas dans la zone adéquate. Le témoin d'efficacité va ici suggérer l'efficacité du remontage à adopter en utilisant le sélecteur prévu à cet effet à l'arrière de la montre. Un compagnon idéal pour le système à turbines! Pour compléter le tableau, Urwerk a d'ailleurs travaillé sur l'esthétique du système le rendant plus attractif visuellement que sur les UR-202 lorsque la montre est retournée.

La base du mouvement demeure comme avec toutes les Urwerk automatiques un calibre Girard-Perregaux, fiable et performant en matière de remontage. Sa fréquence est de 4hz mais sa réserve de marche est un peu plus courte (39 heures) compte tenu de l'énergie requise par le module d'affichage. 

Il est temps de passer l'UR-210 au poignet... et les différences avec les UR-20x sautent immédiatement aux yeux! Le boîtier est encore plus épais (17,8mm à sa hauteur maximum) et imposant (43,8x53,6x17,8mm) mais sa forme ainsi que celle de la lunette lui donnent le sentiment d'être plus fluide que celui des UR-20x. La montre reste étonnamment confortable compte tenu de son gabarit. Cela est dû à l'efficacité du bracelet et à la façon dont il est positionné sur le boîtier: la montre ne bascule pas sur le poignet. Puis visuellement l'aiguille centrale attire immanquablement le regard.

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Hands-On Avec La Rotonde De Cartier Second Time Zone Jour / Nuit (avec photos et prix)

Conçu comme une complication au niveau d'entrée dans la ligne de Cartier de montres avec des mouvements internes, la nouvelle Rotonde De Cartier Second Time Zone Jour / Nuit offre des fonctions pratiques à un prix accessible.

Cartier a été lentement mais sûrement de plus en plus sa gamme de Petit  complications pour les hommes, les montres - bracelets avec, des fonctions pratiques de base. La nouvelle  Rotonde De Cartier Second Time Zone Jour / Nuit est juste que. À partir de moins de US $ 10,000 en acier, il dispose d' un deuxième affichage rétrograde unique de temps de zone, avec une date surdimensionnée. Et tandis que la montre a le style facilement reconnaissable de la maison Cartier, le look est fait un peu plus intéressant avec son cadran disposition asymétrique. 


Une pression sur la couronne avance le second fuseau horaire par étapes d' une heure. Ce qui rend l'affichage de l' heure double inhabituelle est l'  indicateur de temps à la maison rétrograde, sur une échelle en forme d' éventail à 10 heures. Parce que seul "1" et "12" sont marqués sur le deuxième indicateur de fuseau horaire, la lecture , il faut un peu de comptage parfois. Mais l'échelle est divisée en quatre segments d' une heure, ce qui le rend un peu plus lisible.

Un indicateur de jour et de nuit à quatre heures travaille en tandem avec le deuxième écran de fuseau horaire, indiquant si elle est le jour ou la nuit dans le fuseau horaire. Le soleil stylisé et la lune ont un léger Art Déco se sentent à eux, un Cartier esthétique utilise souvent pour ses jour et de nuit affiche .

Bien que la mise en page du cadran est nouvelle, la conception d'ensemble est typique Cartier, avec chiffres romains, acier bleui aiguilles Breguet et un cadran guilloché argenté. Le cas est de 42 mm, mais un mince 11,96 mm de haut. 

Un retour d'affichage signifie le mouvement 1904-FU MC à l'intérieur. Bien qu'il ait été fini à un niveau en rapport avec le point de prix, le choix d'une finition de rhodium monochromatique pour la plupart du mouvement signifie qu'il ya peu d'engager l'œil.

Alors que cela fait partie de la collection régulière, la  version blanche de l' or est une édition limitée de 200 pièces, avec un cadran guilloché bleu brillant. Il est une couleur souvent trouvée sur les montres Cartier, souvent utilisé uniquement pour les éditions limitées.voir plus replica de rolex et rolex imitation

Michael Kors Access Android Wear smartwatches announced starting at $395

Michael Kors is the latest watchmaker that is foraying into the Android Wear smartwatch game. The company has announced its first Android Wear smartwatch line known as Michael Kors Access.

The Micaheal Kors Access line up includes two smartwatches for men and women. A gold-plated watch is for women while a sporty black one is for men. Specifications are scare at the moment but the Michael Kors Access watches will feature exclusive Michael Kors display faces which can be changed with a swipe. They even come with interchangeable leather and silicone wristbands. As the watches will run Android Wear, they will come with features like social media updates and text and email alerts, app notifications, built-in fitness tracking Voice-activated Google and more.

The Michael Kors Access smartwatches will retail starting at $395 USD and will be available in Michael Kors stores, MichaelKors.com and select department and specialty stores in fall 2016. Earlier this week, Fossillaunched Android Wear and Analog smartwatches and and said that it plans to launch over 100 smart wearables.

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Garmin Forerunner 15 review: sports watch first, fitness tracker second

As the reviews editor for this tech blog, I often get asked which fitness tracker I own. And I tell people: I don’t need one, silly; I run marathons. Maybe that sounds snotty, but it’s true: During training season, at least, I’m probably more active than most people buying a fitness band. And besides, I already own a running watch to track my time, distance and pace. That doesn’t mean I can’t use a little extra motivation, though. My activity slowed to a crawl this winter, precisely because I was burned out from all those long training runs. (The frigid weather didn’t help either.) At one point, I didn’t exercise for nearly two weeks. I gained back the weight I lost last year, and my muscle mass shrank. It now hurts to do squats. Even so, asking me to wear another device is a tough sell — especially when it means my stats are getting spread across different services.

For people like me, there’s the Garmin Forerunner 15, a sports watch that doubles as a fitness tracker. Like other running watches, including those made by Garmin, the Forerunner 15 tracks your distance, pace and time. It’s offered with an optional heart rate monitor, and has a handy run-walk setting. But it also tracks your activity between workouts, telling you how many steps you’ve taken and how many calories you’ve burned. It issues not-so-subtle reminders to move, lest you spend too much time in your cubicle. At the same time, it doesn’t do everything a standalone fitness tracker would: It doesn’t monitor your sleep habits, and you can’t log your food intake directly from the app. Priced at $170 ($200 with the heart rate monitor), it costs more than your typical fitness tracker, but it’s cheap for a running watch. So is it a good deal? That all depends on your priorities.

Hardware

Compared to other fitness trackers on the market — models from Jawbone, Fitbit and Nike — the Forerunner 15 is bulky, especially sporty-looking. Remember, though, that this is a running watch we’re talking about, not so much a fitness tracker. And compared to other sports watches, it’s actually pretty lightweight. Like many of you, I’m upgrading from an older model, a much-clunkier watch called the Forerunner 110. And let me tell you: The weight difference is noticeable. The first time I put this on, I kept glancing back at my wrist as I ran up the block, as if I had forgotten something at home. Nope, that’s just what it feels like to take a load off.

For the purposes of this review, Garmin loaned me a black watch with electric-green accents. Not the color scheme I would have picked, but real-life shoppers will at least get a choice. In addition to the green-and-black one, you can order it in black with blue accents, red with black accents, teal with white or violet with white. Regardless, it’s not going to blend in with your everyday outfits the way a Jawbone Up24 would, especially in these summer months when covering it with long sleeves isn’t really an option. Most days, I stuck it out, even if the watch didn’t go with my dress, but there were a few days when I sacrificed fitness for style and decided to leave the band at home.

As it happens, the size and design are identical to the Forerunner 10, a cheaper, $130 watch from Garmin that doesn’t include features like continuous step counting, heart rate tracking and interval training. Like the Forerunner 10, it has a plastic band with lots of sizing holes; and a 55 x 32-pixel display that shows two lines of text and is easy to read outdoors. It’s also waterproof up to 50 meters, meaning you can shower with the thing, or even go swimming with it if you’re so inclined (note: Garmin warns against wearing this for high-speed water sports like jet skiing, as a wipeout could still break the watch).

In the box, you’ll also find a proprietary cradle that plugs into your computer’s USB port — you’ll use that for charging and syncing the device. If I’m honest, I would have preferred a standard micro-USB charger, but at least the cradle is sturdier than on the 110. With the 110, I would sometimes wake up for a run to find that my watch wasn’t actually charged. On the Forerunner 15, the cradle snaps in, so you never have to wonder if the charging points are properly aligned. Also, proprietary cable or no, the setup here is quite simple: I’ve just been leaving the cradle plugged into my laptop, which means I typically charge the watch long before I need to. Speaking of which, the Forerunner 15 is rated for five weeks in watch mode and eight hours of running, so your mileage will vary depending on your exercise regimen. That said, I recently completed a two-hour run and still had three out of four bars of battery life, which means Garmin’s claims are probably pretty accurate.

Setup

Similar to other fitness trackers, you’ll need to first walk through a short setup on the watch itself. In particular, you’ll be asked to divulge a few specifics about yourself, including weight, height, gender and birth year. You can also set a max heart rate — a sort of redline, if you will — though that’s, of course, optional, especially if you didn’t bother to buy the available heart rate monitor. Once you do that, you’re ready to start moving.

All told, the learning curve should be pretty slight. The Forerunner 15 has four buttons along the sides, which you’ll use to find your way through the settings. These include: an “enter” key on the upper right; a button on the upper left to light up the screen; one on the lower left to navigate backward; and one on the lower right to cycle through menu options. With so few buttons, then, figuring out which to press basically comes down to a process of elimination.

As I said earlier, the display has room for two lines’ worth of information and by default, the time always sits on top. As for slot number two? You could see the date, your step count for the day, your calorie burn or your daily step goal. To cycle through these, just press the button on the lower-left side of the device. You’ll hear a beep every time you press a button and believe me, that can get a little annoying, since some menus are several layers deep. Fortunately, though, you can silence key tones from the settings if they start to annoy you.

In use

Even if you never log a run, you’ll be getting use out of the Forerunner 15: Start walking around and it logs your steps. Stay still for too long, and it’ll beep, with the word “Move!” showing up on-screen. And it’ll stay there, right in your face, until you get up and walk around for at least two minutes. It’s more or less the same approach Garmin takes with its higher-end Vivofit tracker, except in that case, it’s a red line, not the word “move.” Either way, it’s highly effective: A competing band might vibrate once when you’re in the middle of a meeting, at which point you can pretend the reminder never happened. Here, the reminders are discreet — and persistent.

As on the Vivofit, too, your daily step goal automatically changes from day to day depending on how active you’ve been recently. So, if you exceed your goal, your daily target will keep inching up. If you miss your goal, you might see it dip slightly the following day. What’s especially convenient is that either way, your step target will change gradually. So, if I go on an 11-mile run, it won’t drastically skew my daily step goal unless I consistently travel such long distances.

As a running watch, the Forerunner 15’s built-in GPS radio located my coordinates reasonably quickly, especially if I was in a spot where I’d been before (the front of my apartment building, for instance, where I begin most of my workouts). The watch is also good at holding onto that signal, especially compared to my older Forerunner 110, which sometimes lost track of where I was, even after it established my starting location. The distance tracking is also spot-on — it accurately pegged the distance around Brooklyn’s Prospect Park, for instance, basically matching the distance posted online.

Though the watch is designed so that you can use it out of the box with barely any setup, there are still a couple things you might want to tweak before going on your first run. By default, the watch shows your distance and elapsed time as you’re running. That’s fine for me personally, but if you like, you can instead have the watch show time and pace, time and calories burned, pace and distance, pace and calories, or distance and calories. Ideally, of course, you could view your pace, distance and time all at once, but that’s just not possible with this watch; you’d have to instead upgrade to a higher-end model like the Forerunner 220. Unfortunately, too, the watch doesn’t automatically cycle through these various screens — the 220 does, but not the Forerunner 15. No, you’ll have to press a button if you want to see your other stats.

Like the lower-priced Forerunner 10, the 15 allows you to set up timed intervals. (No distance intervals, though.) This is great for speed work — say, running five minutes at tempo pace and resting for 30 seconds in between. In my case, timed intervals allow me to alternate between running and walking, which is actually all I do these days; ever since coming back from an injury two years ago, I’ve been sticking with three minutes on and one minute off.

So, to recap: Timed intervals are a useful feature, and one I’d recommend you try. My only issue is that the speakers on either side of the device aren’t very loud, and the volume isn’t adjustable either, which means I sometimes fail to hear the “walk” beeps over the sound of my headphones. To be fair, weak speakers are a problem with running watches in general — that’s why many of the walk-runners I know opt for a standalone Gymboss timer instead. If you go for something like the Forerunner 220, you can also opt for a vibration alert, which is impossible to ignore, but that’s simply not an option here.

Other features include Auto Lap, which tells you your time for each mile, and Auto Pause, which automatically freezes the clock when it detects you’ve stopped (super handy if you get held up at a traffic light and don’t want to worry about manually un-pausing the timer). Meanwhile, Garmin’s “Virtual Pacer” feature compares your current pace to your target one. Finally, the watch is compatible with foot pods, allowing you to record your distance indoors. (Note: Even without a foot pod, you can log your time running indoors.)

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Bell & Ross BR-03 Desert Type (Mise à jour avec les prix)

Bell & Ross, connu pour ses montres militaires d'influence de style aviateur, lance un nouveau trio d'entre eux lors du prochain Baselworld 2016 montre juste: la collection Type Bell & Ross BR-03 Desert, avec des motifs de camouflage couleur sable conçus pour répondre à la spécifications des forces aériennes opérant dans chaudes, arides, lieux désertiques.

Les cas des modèles de type BR-03 Desert sont faites de par couleur matte céramique noire, un matériau prisé pour sa résistance à des températures élevées, l'acidité, la corrosion et l'érosion, ainsi que pour son poids léger, qualités hypoallergéniques et tendance à adapter à la température du corps de l'utilisateur pour un confort sur le poignet (tous les attributs importants, évidemment, pour les porteurs relativement peu de cette montre qui en fait pourraient se trouver bloqués dans des conditions désertiques hostiles). Les cristaux sont faits de saphir anti-reflet, et la lunette est fixé au boîtier carré au moyen de quatre vis fonctionnelles dans les coins - dans un style qui rappelle les panneaux avant montés à bord instruments dans les cockpits d'avions - qui contribue à assurer un résistance à l'eau de 100 mètres.

Le cadran a été conçu pour une lisibilité maximale, avec les mains et les chiffres inspirés de ceux sur les instruments de lutte contre l'aviation analogiques. Il est composé de deux inserts qui se chevauchent - une pièce supérieure beige avec des chiffres et des indices découpés et une pièce de fond est recouvert de peinture photoluminescente noir. Cela signifie la lisibilité idéale dans la lumière du jour (quand il est des chiffres noirs et indices sur le cadran de couleur sable) ainsi que dans l'obscurité (lorsque la matière lumineuse, qui est également utilisé sur les heures et les minutes brille à travers les index découpés).

Le «capitaine» de cette équipe tactique du désert est sans aucun doute le BR 03-94 (ci-dessus), un chronographe automatique dans un boîtier de 42 mm, alimenté par Swiss made Caliber BR-CAL.301 (sur la base ETA 2894-2) . Il dispose d'une trotteuse centrale avec une piste de minutes sur la bride, un compteur de 30 minutes à 9 heures et petite seconde à 3 heures. La date, comme sur tous les modèles de type de désert, se trouve dans une petite fenêtre ronde à 4:30.

Il y a aussi deux versions à trois aiguilles de la montre - le BR 03-92 (ci-dessus), également dans le cas de 42 mm et équipés de Caliber BR-CAL.302 (modifié à partir de l'ETA 2892-A2) et le BR S (ci-dessous), qui contient un calibre à quartz fabriqué en suisse (BR-CAL.102, avec un mouvement de base non spécifié) habitant un peu plus modeste de 39 mm cas. (Bell & Ross décrit comme «adapté pour les petits poignets et aussi pour les femmes qui aiment se démarquer de la foule.") Tous les Bell & Ross BR 03-92 Type de désert montres sont sur beige lanières de cuir de vachette (42 mm modèles sont recouverts d'un tissu synthétique noir) avec broche boucles en acier PVD noir. Les prix seront de 2900 $ pour le modèle de dames avec mouvement à quartz; 4.300 $ pour le BR trois aiguilles 03-92; et 6000 $ pour le BR 03-94 chronographe.

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Boy London BOY-31-W - Tous Argent

Je collectionne ces Boy London montres pour un certain temps maintenant, mais la marque est une source de confusion que jamais. Chaque fois que je pense que je l'ai repéré une tendance dans la conception et le numéro de modèle, je trouve une montre qui ne correspond pas.

Les lecteurs réguliers auront remarqué que j'ai blogué quelques montres avec le numéro de modèle de BOY-31-W, et dans ce nombre il y a une gamme de essentiellement similaire, mais légèrement différentes conceptions. Le modèle d'aujourd'hui est aussi un BOY-31-W, mais complètement différent que les autres ...

Cette montre est un design du cadran montre analogique 3 aiguilles avec un mouvement à quartz japonais. Le visage est tout l'argent et ainsi est le cas, avec les mains étant noir. Comme il n'y a pas de couleur, la conception est faite par les combinaisons de surfaces brillantes et brossées, et levé ou abaissé les sections, et il se mélange entre la face et la lunette. Le motif sur la face divise la zone de cadran en 2 parties avec une ligne ondulée pour une limite, et l'un des côtés a un motif filet en forme de diamant. Le nom Boy London est sur le devant avec Boy soulevé hors de la lunette et une partie couvrant le verre, tandis que Londres est gravée dans le visage, et il y a le logo Aigle également sur la lunette. Les chiffres des heures sont également partagés entre la face et la lunette dans différents styles (chiffres et texte, mais sans numéro 12) avec 3,5,7, et 9 sur le cadran.

Le dos de la montre est la version avec le nom de la marque et le numéro de modèle, et une déclaration sur la façon que les produits d'origine ont le message.

La sangle suit le Boy London design bracelet en cuir normale avec les 2 cuir de couleur, goujons, et le nom et le logo enfoncé dans le cuir. La boucle est différente de la normale et a le nom Boy London gravé en elle vient.

J'ai blogué beaucoup de Boy London montres jusqu'à présent, je ne vais pas me répéter sur l'origine de la marque ici (et je prévois de rassembler une page d'aperçu bientôt).

Le look de ce modèle suggère une conception plus récente, mais travaillant sur la date est difficile.Je pense qu'il semble que ce devrait être un modèle des années 2000, mais il pourrait être fin des années 90, comme beaucoup d'autres.

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